Annexes : le début

Aujourd’hui, j’inaugure une nouvelle série de posts dans le Monde d’Aléos : les Annexes d’Aléos. Du coup, hop hop hop, aujourd’hui c’est cadeau, deux posts pour le prix d’un, si c’est pas formidable ça ! Dans cette partie, nous nous intéresserons de plus près à tout ce qui f’ait l’univers d’Aléos : géographie, décors, personnages, langages et histoires parallèles.

J’avoue que c’est pour moi quelque chose d’inédit puisque, bien que la trame de la narration est complète, jamais je ne suis allée aussi loin dans le récit et l’exploration de cet univers que j’ai pourtant moi-même bâti. Ne soyez donc pas trop prompts à me méjuger, mais toute critique constructive sera la bienvenue (Fushichô si tu me lis…).

Et pour inaugurer cette section, une petite cartographie d’Aléos, faite par moi-même (donc, ne soyez pas trop méchants).

C’est parti !

Cartographie d'Aléos

Qu’en pensez-vous ?

Avertissement au lecteur

Ami lecteur,

Si tu es ici, c’est que tu t’es perdu. Ou que tu connais l’une de nous deux. Quoi qu’il en soit, puisque tu es là, nous t’invitons à venir découvrir avec nous le monde d’Aléos. Aléos, c’est un univers qui existe dans nos têtes depuis près de 10 ans maintenant. C’est un monde alternatif qui raconte une autre vision de la cosmogonie, la notre, inspirée de tout ce qui a constitué notre adolescence (Angel Sanctuary et Vision d’Escaflowne en matière de mangas, la saga des Final Fantasy pour le côté RPG), mais aussi de religions diverses, de mythologies du monde entier, etc. Au départ, ça s’appelait La Raison du Mal (ce qui explique la bannière d’accueil), parce que, en vraies ados rebelles, on voulait raconter une histoire sur les origines du mal, pourquoi les guerres, pourquoi la haine, etc etc. Puis on a grandi (même si on est restées rebelles), et l’histoire aussi. Et c’est devenu autre chose. Un univers à part entière… Alors on a changé le titre.

Cette histoire parle d’anges, de Bien et de Mal, d’amour, de guerre et d’espoirs, d’aventures et de réalités alternatives. Alors reste, ça sera bien (et je dis ça en toute objectivité !)

Sandrine